À MON AVIS…
Sortie du roman “Les voix d’Arenc – Marseille 1956”
Publié lepar Robert DaganyCe début novembre 2025 est sorti le roman de Robert Dagany, Les Voix d’Arenc, cloturant la trilogie d’Arenc, après La muette d’Arenc premier roman en 2011, suivi en 2016 par Les nistons d’Arenc. Journaliste de presse écrite et radiophonique à Marseille … Lire la suite2025 : des vœux modernes
Publié lepar Robert DaganyLa langue française évolue. C’est normal ! Tout change. Aujourd’hui, où que vous alliez, ça commence par “en fait” et ça suit avec “du coup”. Par ailleurs, comme il n’y a plus de lecture à haute voix dans les petites classes, on n’y … Lire la suiteL’invasion du “globish” et l’inflation des mots
Publié lepar Robert DaganyJ’ai déjà râlé ici contre l’invasion, dans “La Provence” – le quotidien local le plus lu – de termes anglais utilisés davantage par snobisme, comme une marque de modernisme, que par nécessité. J’en ai, depuis, relevé d’autres à ajouter à une liste … Lire la suitele Comité du Vieux Marseille m’avait invité à écrire une nouvelle dans le cadre du recueil “25 histoire de Marseille” par 25 auteurs marseillais
Publié lepar Robert DaganySorti en novembre 2016 à l’occasion du Carré des Ecrivains, ce recueil de nouvelles et de textes sur Marseille a été réalisé par le Comité du Vieux Marseille (25 histoires de Marseille). Il dépeint Marseille de toutes les façons, tant par des … Lire la suiteRéflexion sur ce putain de pouvoir d’achat
Publié lepar Robert DaganyDérèglement climatique, guerre en Ukraine, crise énergétique, les fonds de placements, les banques et les traders spéculent sur l’alimentation, inflation galopante… Tous les partis, de l’extrême droite à l’extrême gauche, veulent désormais améliorer le “pouvoir d’achat”. Élections obligent, ils ont suivi … Lire la suiteLe grand remplacement… du français
Publié lepar Robert DaganyC’est déjà Noël ! Il va falloir encore acheter des cadeaux ! Quelle corvée ! Sur France-info on a eu droit à un reportage sur les embouteillages monstres à Plan-de-Campagne. Un centre commercial, à la sortie de Marseille, le plus vaste de France – et sans doute … Lire la suite
MES ROMANS D’ARENC



INTERVIEWS
Interview TV sur La muette d’Arenc (LCM)
Publié dans TV/RadioRencontre avec Robert Dagany sur La Grande Emission (La Chaine Mmarseille) le 3 janvier 2012 à l’occasion de la sortie de son livre “La muette d’Arenc”.Reportage France 3 sur La muette d’Arenc
Publié dans TV/RadioDiffusé sur France 3 Méditerranée, le 15 décembre 2011.
TÉMOIGNAGES
Tendresse et vivacité du ton
Merci et bravo ; en particulier pour ce qui est de la tendresse et de la vivacité du ton, teinté de légère moquerie…
Régalée et rajeunie !
Ce qui m’a le plus impressionné…
La question du point de vue est malgré tout, plus importante : le portrait charge du militant de la CGT sent trop le règlement de comptes pour qu’on n’en soit pas gêné quand on a habituellement de la sympathie pour ceux qui luttent. Son contradicteur, l’aimable Nanet, plaide pour les jaunes. Avec modération certes, (on est dans le bar des cocos), mais bien loin du contexte de guerre de classes des années 50, du recyclage US des nazis et collabos en fuite, du financement par la CIA des organisations et officines anti-ouvrières. Le chapitre 26 s’intitule : La leçon de politique. Quelle est la leçon ?
Plein d’humour et d’émotion…
Heureux de lire ce livre
Pour l’enfance, je me souviens à travers ce récit de moments semblables, bref je suis heureux de lire ce livre, merci !
Merci pour cette connivence sur ta jeunesse et cette ville “particulière”
Que de carafons, de personnages colorés, les images qu’on se fait du quartier sans le connaître, la vie de la rue, des quartiers avec ses bruits, ses odeurs, ses rencontres,…..
L’écriture est simple, drôle, touchante, tendre et corsée et j’ai beaucoup aimé toutes les pages de la fin, la « postface » qui font le distinguo entre l’époque de cette période de 56 à aujourd’hui, car elle est toujours en balance avec la nostalgie de tout ce qui a été vécu dans ces années de pauvreté, de simplicité, de dénuement, de partage (comme dans Marius et Janette), puis tout ce qui arrive progressivement et qui a évincé, détruit, effacé tout ce passé.
J’ai eu peur que tu ne restes que sur la nostalgie de l’époque passée et sur son “c’était bien”. Mais en homme moderne, toujours à l’écoute et avant-garde que tu es, tu as toujours trouvé à plutôt mettre en valeur le plus possible l’avantage, la poursuite de l’évolution du progrès, même si tout a disparu et que ça fait mal.
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Une promenade marseillaise, bonne et vivante…
Comme Echinard, je ne peux que sentir et dire : “j’y étais !”, tant cette promenade marseillaise était bonne et vivante !
Un grand merci.
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Une justesse saisissante
Il a pour auteur Robert Dagany, qui fut un journaliste talentueux (presse écrite et surtout radiophonique) durant près de cinquante ans à Marseille. Son titre : « La Muette d’Arenc ; Marseille 1950 ». Il ne s’agit ni d’un roman ni d’un récit – du moins ne lit-on aucun de ces deux mots sur la couverture – mais il relève un peu de l’un et de l’autre.
Le narrateur se rappelle sa vie de jeune garçon d’une dizaine d’années, natif d’un village du Grésivaudan, débarqué avec sa famille au quartier populaire d’Arenc – prononcez « Arèn », proche du Port. C’est l’immédiat après-guerre. La vie est difficile ; il y a des conflits sociaux, des grèves. Mais le gamin des Alpes a tôt fait de devenir un minot du quartier. Il va à l’école du Bachas, il s’y fait des copains, il se lie d’amitié avec deux d’entre eux qui l’entraîneront dans une affaire énigmatique liée à la Guerre d’Indochine ; toute une aventure ! Années d’apprentissage de la vie pour le jeune Edouard (ses collègues l’appellent « Douar ») et d’immersion dans un quartier où la convivialité et l’entraide ne sont pas de vains mots.
Robert Dagany – dont c’est le premier livre publié – excelle à restituer le climat de son enfance marseillaise autour de 1950. Il le fait avec un soin et même une méticulosité extrêmes, un luxe de détails inouï, dont tout lecteur qui a vécu en ce temps-là ou qui en a entendu un tant soit peu parler ne peut que s’enchanter. Rien de pesant dans ces évocations, au contraire : un style gouleyant et léger, qui coule de source ; et ce d’autant mieux – et c’est la grande vertu de ce livre – que le parler marseillais de l’époque s’y exprime avec une justesse saisissante, pas seulement par le vocabulaire mais par la tournure même des phrases, les accents toniques et toutes les nuances d’un langage oral admirablement transcrit. Là où d’autres se contentent de parsemer leur prose de stéréotypes, Dagany, fort de sa mémoire d’enfant d’Arenc autant que de ses collectes d’entretiens réalisées dans sa carrière journalistique auprès de personnes âgées des quartiers, nous donne un livre d’une authenticité rare. A quoi s’ajoute sans cesse en filigrane, une vraie tendresse pour son quartier à lui et pour ses gens.
Impatient de découvrir la suite…
Un coin inconnu de moi
Moi qui ne connait Marseille que depuis 1956, j’ai toujours été intéressé par la vie des quartiers. Mais les récits sont rares et celui-ci , en dehors du côté plaisant de sa lecture, dévoile un coin inconnu de moi.
Merci, Monsieur Robert
Que de nostalgie chapitre après chapitre !
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A lire par les “vieux marseillais”
J’ai retrouvé toutes les expressions de mon enfance ainsi que les lieux. Ce livre m’a même rendue nostalgique et appris confirmé certaines choses.
Commentaire de lecture de la muette d’Arenc
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Un délicieux bain de jouvance !
« Les Nistons d’Arenc », Dagany rempile
Nous sommes en 1951, et à travers les aventures de ces trois écoliers, Robert Dagany décrit le peuple ouvrier du quartier d’Arenc, juste après La Joliette, l’univers des pêcheurs du quartier Saint-Jean, le dur quotidien des mineurs… Au pied du massif de l’Étoile, la vieille langue provençale garde encore toute sa couleur dans ce parler marseillais des années cinquante que Robert Dagany tente de restituer le plus fidèlement possible. Un bouquin savoureux, qui se déguste comme une madeleine… trempée dans l’anis…
Un dosage fin entre sérieux et humour
Bref, un vrai régal…
la muette d’Arenc “un livre” qui va vous parler !!!!
Merveilleux, ce livre me replonge dans mon enfance fait remonter pleins de souvenirs “que du bonheur” à conseiller à tous ceux et celles qui ont connus ou veulent découvrir une fabuleuse page de l’histoire de Marseille avé l’accent !
Pas besoin d’être Marseillais…
L’humour, la tendresse se mélangent parfois à la mélancolie, voire la tristesse mais le plaisir est toujours présent et nous accompagne tout au long de ce récit.
Récit qui représente tout de même 520 pages mais qui se lit comme une nouvelle qui en comporterait 25…
Je recommande vivement cet ouvrage et attend avec impatience le prochain livre de cet auteur.
Une 2e belle partie
Très bien documenté, j’en ai appris plein sur le vietnam. Toute cette tendresse entre Justin et Zu. Les dialogues à mourir de rire de Zette et modo, et la poissonnière d’en face. L’amour fraternel de ces trois gosses qui vivent les uns pour les autres. Il y a du suspens, de la rébellion, beaucoup de tendresses. Des moments authentiques d’entraide, de volonté, de solidarité. Et ce patois de Marseille qui en fait toute l’originalité !
Non vraiment très réussi. C’est un livre qui appelle le soir au coucher, qui attend le petit réveil du matin, il remet plusieurs couches dès que possible dans des moments de la journée, on en a envie.
Bravo, voilà une 2ème belle partie ! A quand la 3ème ? Merci.
Un talent de dialoguiste…
La muette d’Arenc
Ouvrage très documenté, agréable lire car bien écrit, permet de retrouver les particularités de Marseille mais , au-delà, les souvenirs d’enfance de ceux qui sont nés à peu près à la même époque que l’auteur. Un grand moment de bonheur !
Bon dieu, j’attends la suite maintenant !
Bon dieu, j’attends la suite maintenant.
Après les Ritals on a bien eu les Russkoffs.
PS : ma mère a mangé la Muette d’Arenc en 5 jours
A l’a trouvé ça génial ! Donc ça marche aussi avec les peineux de Picardie !
Loin de tout folklore…
Avec quelle émotion et quel plaisir j’ai pu, jour après jour, me plonger dans ce Marseille des années 50 que vous ressuscitez avec tant de force, de finesse, de fidélité.…
MES ANCÈTRES
Charles Émile JOSSE, dit le Parisien
Mon arrière grand-père maternel. Extrait du Maitron, le dictionnaire biographique du mouvement ouvrier et social. Né le 23 avril 1853 à Paris (1er arrondissement), mort le 1er août 1938 à Grenoble (Isère), originaire de Picardie, Émile Josse fit un apprentissage de serrurier puis fut contraint, … Lire la suite





