À MON AVIS…

MES ROMANS D’ARENC

TÉMOIGNAGES

Tendresse et vivacité du ton

Merci et bra­vo ; en par­ti­cu­lier pour ce qui est de la ten­dresse et de la viva­ci­té du ton, tein­té de légère moquerie…

Michèle Gilbert
21/12/2011

Régalée et rajeunie !

…mer­ci pour ce chef d’oeuvre qui m’a replon­gée dans mon arri­vée à Aix en 52 puis Marseille… Je me suis réga­lée et rajeu­nie en retrou­vant toutes les expres­sions qui m’a­vaient tant mis en posi­tion d“estrangère” au début de mon séjour…

Odette Jeggli (pari­sienne)
15/07/2012

Ce qui m’a le plus impressionné…

C’est le roma­nesque je crois qui assure le lien et qui m’a le plus séduit : la mort éton­nante de Diêm, son car­net à cacher, à trans­mettre, la décou­verte de la double cave, la quête d’un che­min sou­ter­rain pour arriver

Jean-Louis Ribeira (tou­lou­sain)
09/03/2012

Plein d’humour et d’émotion…

… j’a­doooooore cette façon d’é­crire très ima­gée, sub­tile, sophis­ti­quée dans le sens où l’on sent que les mots sont choi­sis, pesés. C’est très tou­chant, plein d’hu­mour et d’é­mo­tion, ça ne juge pas, ça raconte sim­ple­ment mais avec carac­tère. C’est très

Valérie Baudoin (ardé­choise)
01/06/2012

Heureux de lire ce livre

Je suis à moi­tié du livre et déjà, j’aime beau­coup ce que vous avez réus­si à faire pour ce récit en trans­met­tant l’ac­cent de Marseille dans l’é­cri­ture, je l’en­tends par­fai­te­ment… Mais je reste per­tur­bé pour n’a­voir jamais eu connais­sance de

Claude Ballanger (pari­sien)
15/02/2012

Merci pour cette connivence sur ta jeunesse et cette ville “particulière”

Je viens de ter­mi­ner la lec­ture de “Les voix d’Arenc” et j’ai bien rigo­lé ! Vraiment les dia­logues de Sissou et de Zette, c’est à péter de rire. Que de cara­fons, de per­son­nages colo­rés, les images qu’on se fait du

Valérie Baudoin
03/11/2025

Une promenade marseillaise, bonne et vivante…

…un bon pavé de lec­ture assai­son­né aux sou­ve­nirs (un tiers), sau­pou­drés d’ac­cent (un tiers), d’a­mour, d’hu­mour et de vie (un tiers), et pour cor­ser le tout, un grand tiers d’eau, bien sûr ! Comme Echinard, je ne peux que sentir

Jacques Gastinel
04/03/2012

Une justesse saisissante

Avec ses 528 pages répar­ties en 49 cha­pitres voi­ci – paru aux édi­tions Le Fioupélan – sans doute le livre le plus volu­mi­neux jamais publié dans le genre « Littérature mar­seillaise ». Et, je vous le dis tout de suite, c’est aussi

Jacques Bonnadier, Radio Dialogue
08/01/2012

Impatient de découvrir la suite…

… j’ai éprou­vé grand plai­sir à suivre les aven­tures des per­son­nages. Je suis déjà impa­tient de décou­vrir la suite … C’est d’emblée que j’ai été séduit par le récit, les per­son­nages, par la manière dont l’au­teur a su marier avec

Pierre Gadret, Picard de Lyon
31/07/2012

Un coin inconnu de moi

Joli coup, Monsieur Robert. Moi qui ne connait Marseille que depuis 1956, j’ai tou­jours été inté­res­sé par la vie des quar­tiers. Mais les récits sont rares et celui-ci , en dehors du côté plai­sant de sa lec­ture, dévoile un coin

André Gastinel
20/12/2011

Que de nostalgie chapitre après chapitre !

Étant natif du Vallon des Peyrards dans la com­mune de Septêmes, j’ai revé­cu tout au long de vôtre livre des pans entiers de mon enfance et ado­les­cence. Je peux dire moi aus­si ”j’y étais”. J’étais à l’é­cole com­mu­nale du Vallon

Hugues Schepmans
05/09/2012

A lire par les “vieux marseillais”

J’ai retrou­vé toutes les expres­sions de mon enfance ain­si que les lieux. Ce livre m’a même ren­due nos­tal­gique et appris confir­mé cer­taines choses.

Mamie sur amazon.fr
29/01/2013

Commentaire de lecture de la muette d’Arenc

J’ai aimé ce livre, très bien écrit, pour diverses rai­sons qui touchent à mon vécu et un loin­tain pas­sé mar­seillais dans ce quar­tier. Depuis j’ai beau­coup voya­gé dans le monde, beau­coup vu et beau­coup fait ; Mais la puis­sance de l’évocation,

Roger NORMAND sur amazon.fr
20/09/2016

Un délicieux bain de jouvance !

Quel bon­heur que Robert DAGANY ne soit pas né à Marseille ! Si ce fut le cas il n’au­rait pu gra­ver en sa mémoire ces par­ti­cu­la­ri­tés de lan­gage qui sont le nec­tar du par­ler mar­seillais. Pour nous, nour­ris au lait

Jean-Marie Delli Paoli
01/10/2012

« Les Nistons d’Arenc », Dagany rempile

Auteur de La Muette d’Arenc (aux édi­tions du Fioupélan, 2011), Robert Dagany pour­suit l’é­tude de ce quar­tier mar­seillais avec Les Nistons d’Arenc, qui sort ces jours-ci en librai­rie, tou­jours publié par Le Fioupélan, que dirigent Jean-Marc Valladier et Médéric Gasquet-Cyrus.

wordsfrommars.com
24/02/2016

Un dosage fin entre sérieux et humour

Je viens de finir “La muette d’Arenc”, et …/..j’en ai vrai­ment beau­coup aimé la lec­ture. Je trouve que la nar­ra­tion est bien menée et R. Dagany a su sor­tir des rouages de ceux qui se sont piqués de faire du

Alain Giacomi
07/04/2012

la muette d’Arenc “un livre” qui va vous parler !!!!

Merveilleux, ce livre me replonge dans mon enfance fait remon­ter pleins de sou­ve­nirs “que du bon­heur” à conseiller à tous ceux et celles qui ont connus ou veulent décou­vrir une fabu­leuse page de l’his­toire de Marseille avé l’accent !

Dany31, sur le site amazon.fr
03/12/2011

Pas besoin d’être Marseillais…

Super bou­quin ! Pas besoin d’être Marseillais pour se réga­ler à la lec­ture de ce livre.Un grand moment de bon­heur, il se suf­fit de se lais­ser por­ter par la nar­ra­teur pour par­ta­ger d’in­tenses moments de bon­heur. L’humour, la ten­dresse se

Soon 73 (savoyard) sur libfly.com
23/12/2011

Une 2e belle partie

Vraiment super,“Les Nistons d’Arenc”, un régal ! Très bien docu­men­té, j’en ai appris plein sur le viet­nam. Toute cette ten­dresse entre Justin et Zu. Les dia­logues à mou­rir de rire de Zette et modo, et la pois­son­nière d’en face. L’amour

Valérie Baudoin
20/03/2016

Un talent de dialoguiste…

…Il y a des dia­logues savou­reux, où chaque per­son­nage a son propre accent, et cette langue qui lui est propre, le rend pré­sent, vivant, plus que par une longue des­crip­tion. Et on se fait, en lisant, son ciné­ma. Bref, une

Léone Alabe (Marie Albe)
01/08/2012

La muette d’Arenc

Ouvrage très docu­men­té, agréable lire car bien écrit, per­met de retrou­ver les par­ti­cu­la­ri­tés de Marseille mais , au-delà, les sou­ve­nirs d’en­fance de ceux qui sont nés à peu près à la même époque que l’au­teur. Un grand moment de bonheur !

Michèle Lortal sur amazon.fr
23/03/2013

Bon dieu, j’attends la suite maintenant !

A tout dire, j’ai eu dans les pre­miers cha­pitres un peu de mal à entrer dans l ‘bazar. Je me disais : “Il en fait bien du chi­chi pour racon­ter com­ment s’est cas­sé la gueule la poudre à café “…Je

Jean-Michel Mouron (picard)
05/06/2012

Loin de tout folklore…

Avec quelle émo­tion et quel plai­sir j’ai pu, jour après jour, me plon­ger dans ce Marseille des années 50 que vous res­sus­ci­tez avec tant de force, de finesse, de fidélité.…

Jean Cabriès (La Calade, Marseille)
04/05/2012

MES ANCÈTRES